C'est la dernière pesée et la tension est élevée. Les participants ont enduré 17 semaines d'exercice intense, le régime alimentaire strict et formateurs encore plus strictes. Ils ont porté toute leur énergie sur une chose et une seule chose: perdre du poids. Il en revient toujours à ce moment. Quel sera dit lors des dernières étapes candidat à cette échelle permettra de déterminer si il a réussi à «changé sa vie." Mais ces changements de dernière? On peut supposer que, s'il a changé avec succès, ils le feront. Pourtant, n'est-il plus à changer la vie que ce que les registres sur l'échelle? Qu'en est-il sa perception de soi? Croit-il vraiment se voir comme un homme mince? Le projet de loi Germanokos, vainqueur la saison quatre, ne fonctionne pas. «Je continue à me considérer comme me vois comme une personne obèse morbide intérieur du corps, une personne capable de». En effet, si le projet de loi est maintenant propriétaire d'une entreprise de perte de poids avec son frère, Jim, et d'autres conseils sur la perte de poids, c'est encore son sentiment.
Alors, il a vraiment changé? Eh bien qui dépend de la façon dont nous définissons le changement. Sur l'échelle, il est différent, plus de 100 livres différents. Pourtant, le sentiment qu'il a de lui-même n'a pas changé.
Et bien, quand on parle de changement il ya, en fait, plus d'un titre à modifier. Toutefois, certains changements sont plus susceptibles de conduire à des niveaux élevés de satisfaction de la vie que d'autres. Le changement décrit par le Biggest Loser candidat ci-dessus, comme vous pouvez l'imaginer, n'est pas particulièrement liée à des niveaux élevés de satisfaction de la vie. Une grande partie de la raison en est que le changement n'est pas authentique. Comme il n'a pas été généré par un sentiment, le changement de lieu a été superposée à la personne. C'est ce que nous appelons un changement de premier ordre. changements de premier ordre sont les changements que nous faisons parce que nous avons, ou nous nous convaincre que nous faisons. Des exemples de changements de premier ordre peut être ajuster notre calendrier de répondre à un nouvel emploi, l'apprentissage de mordre sa langue tout en emploi, le choix d'une carrière à nos parents s'il vous plaît, et perdre du poids pour répondre à quelqu'un d'autre idéal pour nous. Lorsque nous apportons des changements de premier ordre, nous n'avons pas nécessairement envie de faire les changements. Nous les faisons parce qu'il est plus confortable pour les faire, que de ne pas. De cette façon, ne pas faire les changements aurait des conséquences négatives que ce serait plus mal à l'aise que d'aller contre nos sentiments au sujet des changements. Ainsi, nous apprenons à réprimer nos sentiments et apporter les changements voulus pour éviter ces conséquences négatives. Par exemple, ne pas ajuster nos vies pour tenir compte de notre calendrier de travail, conduirait à la catastrophe financière. D'autre part, ne mord pas notre langue au travail, le choix d'une carrière en particulier, ou perdre du poids, pourrait décevoir quelqu'un dans notre vie et conduire à un rejet, ou de récriminations. Comme ces conséquences négatives évoquent plus de peur que de réprimer nos sentiments, nous faisons les changements. Cependant, nous n'avons pas vraiment envie de les faire, et en ce sens qu'ils ne se sentent pas naturel. Au lieu de cela, car ils se sentent obligés, notre attitude à leur égard devient résistant. Ce que cela nous met en place, c'est pour un niveau de satisfaction de vie à court terme, et une propension à réagir contre les changements à long terme. Ainsi, alors que le projet de loi s'est entouré avec des rappels de la perte de poids, ses chances avec des niveaux élevés de satisfaction de vie sont limitées.
Cependant, tous les changements sont forcés. Certains changements sont générés par un sentiment réel de ce changement. Ce sont des choses que nous faisons parce qu'ils se sentent naturel pour nous. Un exemple de cela est à porter des enfants. Comme l'instinct maternel prend le dessus, la nouvelle mère se retrouve faire les choses très différemment d'avant. Elle peut devenir moins rigide, plus souple et accepter. Son besoin d'atteindre peut être réduite que son besoin d'être affectueux et maternage prend le relais. Un autre exemple de cela est l'apprentissage de nouvelles compétences, et de développer une passion pour elle. Par exemple, comme nous apprenons à jouer au tennis et de constater que nous sommes bons à elle et, comme la façon dont nous ressentons quand nous jouons, nous pouvons trouver en nous laissant aller à d'autres obligations dans notre vie à jouer au tennis. Ces deux changements vont se produire viscéralement, presque en dehors de notre conscience. C'est parce que nous n'avons pas de penser à eux, ils ne sont pas imposées sur nous, ou forcé de quelque manière, et ne nécessitent donc pas un effort conscient. Ces changements sont appelés changements de deuxième ordre, et comme vous pouvez l'imaginer, ils sont liés à des niveaux élevés de satisfaction de la vie que les changements de premier ordre. C'est parce que nous faisons des choses que nous aimons. Tout comme la nouvelle mère aime son enfant, les changements dans sa vie semble naturel, le joueur de tennis de nouvelles amours de tennis, et donc les changements dans sa vie semblent naturelles.
Il en va de The Biggest Loser il droit? Ne l'émission de générer de premier ordre (la satisfaction de vie peu), ou de second ordre (satisfaction de la vie élevé) des changements? La prochaine fois que vous regardez le spectacle, demandez-vous, sont les candidats encourage à trouver des choses qu'ils aiment? Ou sont-ils au lieu de négociation satisfaction de la vie pour perdre du poids. Finalement, les deux devraient aller de pair.
